jeudi 28 novembre 2013

Drones civils : quels usages et quelles réglementations ?

A l'instar des imprimantes 3D, les drones civils sont désormais accessibles et abordables pour le grand public. De nombreuses initiatives ont alors vu le jour montrant le fort potentiel que pouvait avoir cet objet intelligent. Tour d'horizon des usages les plus innovants :

Yo! Sushi


C'est au Royaume-Uni que vous trouverez des drones utilisés dans le monde de la restauration. Premier du genre, le restaurant japonais Yo! Sushi situé à Londres a mis au point l'iTray, en juin dernier, un drone RC capable d'assurer le service. Equipé de deux caméras, le drone est contrôlé à distance par des serveurs à l'aide d'un iPad. D'autres restaurants de la chaine devraient voir arriver ce service d'un nouveau genre dès 2014.

Domicopter

Domicopter

Toujours au Royaume-Uni, une des franchises de l'enseigne Domino's Pizza a eu l'idée de tester la livraison par voie aérienne ! L'opération qui relève ni plus ni moins d'un coup marketing a fait beaucoup parler d'elle en juin dernier.

Tacopter

Outre-atlantique, l'idée d'une manne venue tout droit du ciel a aussi été envisagée avec Tacopter, un drône spécialement dédié à la livraison de tacos dans la région de San Francisco. Qu'il s'agisse d'un diner à la maison ou d'un déjeuner sur le pouce au bureau, Tacopter vous livrera quelque soit le lieu où vous vous trouvez. Seul hic, le site web du projet lancé fin 2012 n'a depuis lors guère évolué ; il est donc difficile de savoir si ce mode de livraison futuriste verra le jour ou non.

Burrito Bomber

 Burrito Bomber

A croire que les spécialités mexicaines sont idéales pour ce type de transport, Burrito Bomber est un concept de livraison de burrito par drône automatisé. Une fois votre position géographique envoyée à partir d'une application web dédiée, ce dernier volera jusqu'à vous pour parachuter le burrito à vos pieds !


Zookal

De l'autre côté du globe, les drones font encore plus fort en livrant des manuels scolaires aux étudiants ! La start-up australienne Zookal promet une livraison plus rapide que les transporteurs traditionnels tels UPS ou encore Fedex. Une fois la commande passée par le client depuis son smartphone et l'envoi par drone sélectionné, un employé attache à l'engin le colis qui arrivera quelques minutes plus tard à destination. Le fondateur de Zookal, Ahmed Haier vise un temps total de 3 minutes entre la prise de commande et la livraison (dans un périmètre donné) !
Déjà testé dans la région de Sydney, ce dispositif sera étendu à toute l'Australie dès mars 2014 avant d'être exporté en Asie et aux Etats-Unis à partir de 2015.

Face à l'absence de régulations, ces drones commerciaux ne sont pas encore autorisés à opérer librement sur le territoire américain. Il faudra donc patienter jusqu'à 2015 pour que la FAA (Federal Aviation Admnistration), agence gouvernementale chargée des règlementations et des contrôles concernant l'aviation civile aux États-Unis puisse apporter des réponses sur l'utilisation des drones.

En France, la réglementation en vigueur fait la distinction entre les aéromodèles (drones à pilotage "simple" avec vol en vue directe, équipés d'un moteur de moins de 15 kw et pesant moins de 25kg) et les aéronefs pilotés (drones équipés d'une caméra ou d'un appareil photo embarqué). A ceci, s'ajoutent les exigences de l'espace aérien... Les règles sont donc strictes dès lors que votre drone vole en dehors de votre propriété privée, particulièrement si ce dernier est équipé d'un dispositif de prise de vue. Dans le cas d'une activité professionnelle, le drone devra être homologué par la DGAC, muni d'un système anti-crash et son pilote devra détenir un diplome d'ULM.

Outre une utilisation à des fins commerciales, le drone peut aussi servir des causes plus nobles comme le Defikopter, un drone mis au point par l'ONG allemande Definetz afin de venir en aide aux personnes victimes d'accidents cardiaques. Contrôlé à distance depuis une application smartphone, ce drone peut répondre à un signal d'alerte et parachuter un défibrillateur sur les lieux de l'incident.

Defikopter

Autre projet, celui d'un père de famille qui a construit son propre drone (un Quadcopter) afin qu'il puisse "accompagner" son fils sur le chemin de l'école. Ce drone "fait-maison" est capable de suivre l'enfant, grâce à un gps glissé dans son sac à dos, sur une distance de 400m jusqu'à l'arrêt de bus qu'il prend pour se rendre en cours.

La FAA estime à 30 000 le nombre de drones civils qui survoleront le territoire américain d'ici 2020. Un engouement que l'on peut déjà remarquer à travers Dronestagram, qui comme son nom l'indique, répertorie les plus belles vues des quatre coins du globe capturées par des drones.

Dronestagram

Loin d'être exhaustive, cette sélection de projets nous montre un aperçu du rôle prépondérant que joueront très certainement les drones civils dans les prochaines années.

jeudi 21 novembre 2013

GPS, boîtes noires ou casques high-tech, le renouveau des équipements vélo

Alors que l'automobile bénéficie d'une recherche permanente en termes d'innovation, les deux-roues demeurent souvent en reste. Une tendance qui semble toutefois s'inverser avec l'arrivée de nouveaux concepts sur le marché capables de révolutionner notre usage du vélo.

SEIL Bag - le sac avec affichage de signaux lumineux


La communication avec les autres usagers de la route reste en soi très limitée lorsque l’on est à vélo. On a bien sur la bonne vieille méthode qui consiste à tendre le bras pour indiquer un changement de direction ; mais à part ça, peu de moyens d’alerter les automobilistes d’autres types d’actions. Le designer Lee Myung Su a donc eu l’idée d’équiper un sac à dos de LED capables d’afficher une série de signaux à l’aide d’une manette (via bluetooth) fixée sur le guidon de votre vélo. Grâce à ces messages d’informations, le cycliste peut prévenir d’un arrêt, d'un changement de direction ou encore d'un dépassement. D’autres signaux peuvent être créés par le biais d’une application mobile dédiée.


Une campagne de crowdfunding a été organisée pour financer la production du SEIL bag (“Safe Enjoy Interact Light”) et s’est achevée au début du mois de novembre. Malgré le caractère très innovant de ce produit, la levée de fonds a échoué. Reste à savoir si sa commercialisation (courant 2014), comme annoncée sur son site, sera maintenue.

Hövding - le casque de vélo réinventé


Bien qu’il soit primordial pour la sécurité du cycliste, le casque de vélo est souvent jugé peu esthétique et trop contraignant pour être adopté quotidiennement. Deux designers suédoises ont réussi à revisiter cet objet de manière innovante en le transformant en “airbag” à mettre autour du cou ! Baptisé Hövding, ce casque futuriste est très peu encombrant et peut être aisément dissimulé sous une écharpe. Allier style et sécurité a tout de même un coût : comptez 399 euros !

Hammerhead - Un gps pour votre vélo


Financé avec succès fin octobre grâce au crowdfunding, Hammerhead est un gps spécialement conçu pour le vélo. Couplé à une application smartphone, ce gps se distingue par son minimalisme : l’itinéraire est indiqué par un simple signal lumineux émis par des LED. L’application permet de collecter différentes informations telles que vos performances, vos préférences en termes de parcours etc. Hammerhead est d’ores et déjà disponible en pré-commande au prix de 85 $ et sera livré dès juin 2014.

Bitlock - l’antivol intelligent pour vélo


Impossible de faire une sélection high-tech sans parler de Bitlock, l’antivol intelligent dont nous avions déjà consacré un article. Depuis lors, l’antivol a été financé avec succès par le biais d’une campagne de crowdfunding achevée le 14 novembre. Pour rappel, Bitlock est un antivol doté d’une serrure intelligente permettant de sécuriser votre vélo à distance, depuis votre smartphone.

Rideye - la première boite noire pour vélo


Suite à un sévère accident de vélo dont fut victime un de ses amis, Cedric Bosch, ingénieur et passionné de cyclisme, a eu l’idée de mettre au point une caméra capable d’enregistrer en continu les trajets effectués à vélo. Petite et résistante, cette caméra peut être fixée à l’avant comme à l’arrière du vélo. A l’instar d’une boite noire traditionnelle, elle enregistre l’intégralité de vos déplacements à vélo. Lorsque sa capacité d’enregistrement est atteinte (2 heures et demie), la caméra écrase automatiquement les anciens fichiers vous évitant ainsi de devoir libérer manuellement de la mémoire. En cas d’accident, Rideye sauvegarde immédiatement le fichier dans sa mémoire interne grâce à une détection du choc par le biais de l'accéléromètre.
Ce concept innovant a lui aussi bénéficié du crowdfunding et est désormais disponible à la vente à partir de 139 $.

Outdoor Turtle Shell - le compagnon idéal pour vos randos à vélo


Déjà présente dans notre top 10 des meilleures enceintes nomades, Outdoor Turtle Shell trouvera sa place sur le guidon de votre vélo et diffusera vos morceaux préférés via bluetooth (ou cable jack). L’enceinte est résistante à la pluie et aux chocs et bénéficie d’une autonomie de 9h. Son prix : 129,95 $ (+ 19.95 $ pour la fixation vélo).

mercredi 13 novembre 2013

EatWith, la cuisine du monde à la carte



EatWith est une start-up créée en 2012 par Guy Michlin et Shemer Schwartz, deux gourmets voyageurs qui ont eu l’idée de créer une plateforme communautaire autour de la gastronomie. C'est lors d'un voyage en Crête en 2010 que ce projet a germé lorsque l'un des co-fondateurs fut invité à dîner chez l'habitant à Heraklyon. Une soirée inoubliable autant pour Guy Michlin que pour ses hôtes qui ont pu lui faire découvrir les meilleures spécialités crétoises tout en échangeant autour de leur culture locale. De ce voyage est née l’envie de partager l’amour de la gastronomie en fédérant une communauté avide de nouvelles rencontres quelque soit le pays et la nationalité des convives.

Le fonctionnement


Le site se dote d'une fonctionnalité de recherche très complète, qui permet à l'utilisateur de trouver l'hôte idéal en quelques clics, quelque soit son budget et son envie du moment grâce aux critères suivants :
  • lieux
  • type d’occasion (repas en famille, pique-nique etc.)
  • type de cuisine 
  • type de repas 
  • budget
  • nombre de convives
  • langues parlées
  • spécificités du lieu de réception (wifi, coin fumeur, animaux de compagnie tolérés etc.)
Côté hôte, l'utilisateur est invité à renseigner des critères de recherche très utiles, comme le montant par personne pour le repas (payable via PayPal), l’accessibilité du lieu (transports en commun), la possibilité de garer une voiture etc.

Le site encourage ses utilisateurs a donner leurs impressions après le repas afin d'améliorer la qualité des contenus. Certains profils utilisateurs ont la mention "EatWith verified host", indiquant qu'un membre de EatWith a visité les lieux et a partagé le couvert avec l'hôte.

En somme, EatWith est une plateforme très bien conçue et capable d’offrir des fonctionnalités aussi complètes et abouties pour les invités que pour les hôtes ; ces derniers pouvant très facilement mettre en valeur leur savoir-faire grâce à une fiche profil très riche (bio, photos des précédents repas, livre d’or, liste des invités déjà conviés etc.).



Nous avons pu interviewer Joel Serra, Responsable du développement de EatWith et ancien Country Manager :

1. Quel est le rôle du country manager ?
Joel Serra : Le rôle du country manager est de gérer les deux communautés présentes sur la plateforme : les hôtes et les invités. Barcelone a été la première ville représentée sur EatWith et depuis notre lancement en janvier, nous avons pu expérimenter différentes manières de s'implanter sur un marché et de fédérer une communauté.
Au quotidien, je vis ce projet avec passion à 100% et ne le considère donc pas comme un travail. J'imagine le futur comme un endroit où il sera possible d'aller manger dans n'importe quelle maison à travers le globe, rencontrer des personnes et échanger avec elles pour découvrir en profondeur leur gastronomie. Entre les interviews, shootings, partenariats avec d'autres entreprises, la cuisine et les invitations (je suis aussi hôte), il me reste très peu de temps libre en dehors d'EatWith. Cela reste toutefois un réel plaisir.


2. Avez-vous pour projet de développer EatWith pour le marché français ?
Oui, nous avons comme objectif de développer EatWith de manière évolutive, chaque marché a ses propres caractéristiques et nous souhaitons les étudier attentivement pour préparer au mieux notre lancement en France. En Espagne, EatWith a remporté un franc succès et compte chaque mois des centaines de repas organisés à travers tout le pays.

3. Pensez-vous qu'EatWith se destine à tous types de public ?
Le profil d'un invité "EatWith" est aussi varié que vous puissiez l'imaginer. Globetrotters, couples avec enfants, jeunes actifs, bourlingueurs, sont autant d'invités potentiels venus des quatre coins du monde pour tenter l'expérience. A l'échelle locale, on trouve également cette grande diversité avec un panel varié (âge, situation sociale, profil) permettant à EatWith d'offrir une expérience globale tant aux hôtes qu'aux convives. Notre plateforme se destine à deux types de publics : les locaux à la recherche d'un nouveau type de sorties et de rencontres et aux voyageurs souhaitant découvrir le pays à travers des plats concoctés par les habitants.


4. Quelles sont les qualités requises pour être un bon hôte et/ou convive ?
En tant qu'hôte, vous avez l'opportunité de faire découvrir vos plats préférés à des convives venus des quatre coins du monde, échanger autour de votre culture et en apprendre sur la leur. A tout cela, s'ajoute également un complément de revenu. Chez EatWith, nous recherchons des gens passionnés aimant à la fois cuisiner et recevoir. Ces derniers doivent également maîtriser un minimum les nouvelles technologies : les repas doivent être organisés, réservables, payables en ligne et mis en valeur par la suite sur son profil pour pouvoir séduire d'autres convives.
Les convives doivent eux être suffisamment téméraires pour accepter de dîner chez de parfaits inconnus. La majeure partie arrive en général avec une attitude positive et l'envie de découvrir de nouvelles spécialités et personnes. J'organise moi-même de temps à autre des repas et garde de très bons souvenirs à chaque fois de tous les convives que j'ai pu recevoir quelque soit leur âge ou origine.


Une pluralité culturelle


EatWith s'adresse aux amoureux de la cuisine traditionnelle désireux de faire de nouvelles rencontres tout en partageant le couvert. Au total, on trouve actuellement 23 destinations à travers le monde pour tenter l’expérience EatWith avec parmi les nouvelles entrées : les Etats-Unis, le Japon ou encore le Pérou.
La plupart des utilisateurs, en plus d'être de fins gourmets, ont l'avantage de parler une voire plusieurs langues étrangères comme Marion :

De la cuisine française en plein cœur de Barcelone avec Marion, membre EatWith

1. Comment as-tu entendu parler du site?
Marion : Je travaille comme Web Project Manager dans une agence de webmarketing à Barcelone. Joel, le Responsable du développement de EatWith, avait contacté l'une de mes collègues pour des raisons professionnelles et cette dernière connaissait ma passion pour la cuisine : elle m'a fait suivre le lien de EatWith. Je venais d'arriver à Barcelone et j'ai vu en EatWith une façon formidable de rencontrer du monde: des foodies comme moi, ou des gens de passage avec de chouettes histoires à raconter.

2. Qu'est-ce-qui t'a donné envie de devenir hôte ?
Le concept, immédiatement. J'ai tout de suite vu que c'était fait pour moi: un profil international, une passion pour la cuisine, une grosse envie de partager sa table, et surtout zéro peur d'ouvrir sa porte à des inconnus ! Le site venait d'être lancé et il n'y avait que 2 destinations (Tel Aviv et Barcelone, les 2 villes choisies pour le lancement). J'ai donc attendu de repérer un menu qui me plaisait, j'ai testé comme guest, et j'ai adoré.  J'ai juste attendu quelques mois, et lorsque j'ai enfin eu l'endroit adéquat pour recevoir des invités, j'ai postulé pour être hôte.

3. Quel est ton plat fétiche ?
Difficile. Les noix de Saint-Jacques au curry et la tarte au citron, dur à battre malgré toutes les saveurs internationales que j'ai pu découvrir. 

4. As-tu déjà vécu l'expérience EatWith en tant qu'invité?
Oui, 3 fois. La première fois j'y suis allée avec une amie, puis les 2 autres fois je suis allée chez des hôtes rencontrés lors du premier dîner, avec qui j'avais sympathisé.
Au deuxième EatWith, j'y suis même allée seule. C'est là pour moi la grande différence d'avec un repas au resto: c'est beaucoup plus facile de s'y rendre seul. Certains hôtes ouvrent même leur porte le soir du Réveillon de Noël, c'est génial pour les personnes qui sont seules ce soir-là ou sont loin de leur famille, même à la dernière minute.

5. Sur EatWith, il est aussi possible de donner des cours de cuisine, serais-tu intéressée par cette formule ?
Beaucoup d'hôtes proposent des cooking class, notamment un Chef étoilé à Barcelone. Je ne me considère pas une grande Chef, loin de là, mais pourquoi pas? Plus qu'une classe, un atelier pourrait être sympa. J'en ai déjà animé lorsque je travaillais chez Tupperware et c'était ludique d'aller cuisiner chez les gens et de leur montrer les nouveaux produits tout en proposant une recette. Donc un atelier farandole de quiches ou apéro dinatoîre frenchie, je ne dis pas non!

6. Quel est ton meilleur souvenir ou rencontre autour d'un dîner EatWith ?
Les fous rire avec des gens rencontrés 5 minutes plus tôt. Il n'y a qu' EatWith qui puisse faire ça. Et le saumon sur lit de lentilles cuisiné par Joel, c'était pas mal non plus. 

Hôte de choix sur EatWith, Marion aime aussi partager sa passion à travers Eat-Girl, blog incontournable pour faire le plein de bon plans gastronomiques à Barcelone ou pour tester des recettes inspirées de ses deux pays de coeur : l’Espagne et la France. Résolument cosmopolite, Marion sait toujours trouver les mots justes pour nous faire saliver que ce soit en espagnol, en anglais ou en français !

Country Manager, hôte ou simple convive, tous semblent conquis par cette nouvelle façon de cuisiner et de voyager à travers le monde. Et vous ? Quel sera votre prochain repas EatWith ?

lundi 4 novembre 2013

Afterwork Webavardes "Ça va faire mâle" le 7 novembre à Strasbourg !

Avec les Webavardes, les soirées se suivent mais ne se ressemblent pas ! Preuve en est avec une 4ème édition placée sous le signe du "mâle". En plein "movember", les organisatrices ne pouvaient trouver mieux qu'un parrain pour l'occasion ! C'est donc le blogueur strasbourgeois Jack Typhus qui sera mis à l'honneur avec une présentation de son blog Kapoué, adresse incontournable pour dénicher les meilleurs bons plans à Strasbourg.


Des animations mixtes seront également au programme avec, entre autres, un barbier, un cireur, un bar à thé glacé, un photocall, une démonstration de danse hip hop, de quoi combler les garçons comme les filles !

Rendez-vous donc le jeudi 7 novembre dès 18H30 au 1er étage des Galeries Lafayette Strasbourg, l'entrée est gratuite !