lundi 31 octobre 2011

Strasbourg Girl Geek Dinners, les soirées 100% connectées

Parce qu'il n'y a pas que les garçons qui aiment les nouvelles technologies, et parce que les filles qui "geekent", qui "playent" ou qui bloguent ne sont pas vissées derrière leur écran ou leur console, les Girl Geek Dinners ont vu le jour pour que ces filles d'un genre nouveau se retrouvent pour des soirées d'échange et de partage autour de leurs passions.



Nées en 2005 à l'initiative d'une passionnée de high-tech londonienne qui se trouvait trop isolée dans un monde décidément très masculin, le concept connait un fort succès et se répand très vite dans le monde entier. Après la Grande Bretagne, l'Italie, la Norvège ou encore le Canada, c'est au tour de Strasbourg d'accueillir ces soirées. Le projet, mené par ses organisatrices, Isabelle la globe-trotteuse et Aurore l'accro au web 2.0, a reçu un accueil très favorable auprès de la communauté féminine et technophile strasbourgeoise. Professionnelles des technologies du web, gameuses, ou simples adeptes des dernières tendances en matière de multimédia, ces rendez-vous seront l'occasion pour nous toutes de nous rencontrer et d'échanger dans une atmosphère conviviale.

Le premier rendez-vous des geek girls aura lieu le 16 novembre à la Salamandre. Parrainée par la blogueuse Claire Harrison, cette première édition rassemble également de nombreux partenaires tels que Bemac, Swatch, Canopée Beauté et le centre commercial Rivétoile qui vous proposeront de tester leurs produits. Fans incontestées de smartphones ou de consoles de jeux, n'hésitez pas à vous inscrire, et à emmener vos copains geeks avec vous. Même si nous ne pourrons pas nous croiser à l'occasion de cette première rencontre (ce soir-là nous avons des obligations parisiennes), nous soutenons très fortement le concept et espérons y participer très bientôt !

Digitives

vendredi 28 octobre 2011

[The Digitives Horror Website Show] Quand le webdesign rencontre Halloween

Halloween approchant à grands pas, le collectif Digitives vous propose un avant-goût à travers une sélection de sites, pour la plupart américains, tradition oblige, dont le design a été adapté à la circonstance.
Citrouilles, toiles d’araignées et monstres en tous genres envahissent l'écran et font frissonner leurs visiteurs.

1. Svpply


Ce site consacré au shopping par la curation a choisi de célébrer Halloween de manière très élégante avec une barre de recherche originale invitant les internautes à dénicher les plus beaux accessoires pour l’occasion. En bonus, une animation s’est glissée sur leur page d’accueil...


2. Ben & Jerry's


C'est un design coloré et animé que propose le site américain de la marque de crèmes glacées Ben & Jerry's. Le site web se transforme en véritable maison hantée, à visiter prudemment.
N'oubliez pas de faire un tour dans le cimetière des parfums.


3. Hollywood Studio


La palme du site le plus terrifiant revient à celui d’Hollywood Studio avec une page d’accueil mettant en scène un aperçu des attractions prévues pour l’occasion. Avec Scream, Hostel, Rob Zombie, les productions phares d'Universal hantent le parc pour vous offrir les plus belles frayeurs...


4. Vogue US


En toute élégance, le diaporama du célèbre magazine de mode a revêtu les couleurs d'Halloween et nous dévoile sa dernière couverture consacré aux costumes créatifs et haute-couture. Les sorcières Lanvin côtoient les héroines de manga de chez Chanel sur le catwalk...


5. Howdy !


Envie de partager vos plus effrayants clichés avec vos proches ? L'application Howdy! vous propose de les envoyer accompagnés d’un message sous forme d’ecard et cela gratuitement !
Le site a changé son design pour l’occasion en offrant à son logo une panoplie de costumes. Un indice, cliquez sur le pigeon !


6. Creativespark


De loin notre coup de coeur de cette sélection, l’agence web britannique que nous avions déjà sélectionné pour l’originalité de son site livre un design hautement créatif pour Halloween réveillant l’âme d’enfant qui sommeille en nous.

Psychose, 1960
Mention spéciale à la boutique de l'horreur spécialement créee pour l'occasion où vous pourrez vous offrir une affiche de film d'épouvante revisitée par l'agence. L'intégralité des fonds est reversée pour la lutte contre la mucoviscidose.

Stéphanie M. & Mélanie G.

mercredi 26 octobre 2011

4 sites web, une vocation : la découverte musicale

Le collectif Digitives vous présente aujourd'hui quatre sites émergents ayant pour vocation la découverte musicale. Souvent dans l’ombre des géants Spotify et Deezer, des trésors sont enfouis dans l’infini web ; ces sites se font tout doucement une place dans le monde du streaming, en proposant des concepts novateurs : la  mise à l’honneur de musiciens indé pour mixest.com et Thesixtyone, la découverte par artistes similaires pour Aupeo!, ou encore le partage de playlists confectionnées par des DJs qui veillent sur les dernières tendances sur 22tracks.


Mixest.com a pour vocation la découverte d’artistes indé. Les titres sont collectés à partir de blogs axés indie music. Le site séduit par son interface minimaliste. Au centre, un player qui diffuse en streaming de la musique indie et 3 commandes : play/pause, next, et more obscure. Ce dernier vous permet de signaler au site que vous voulez entendre moins de chansons par cet artiste. 

Aperçu du player et de son option "more obscure" offrant une navigation atypique

L’auditeur peut utiliser le player sans inscription, cependant le site offre aux utilisateurs inscrits l’opportunité de créer très facilement des playlists à partir de leurs coups de coeur. Si vous gérez un blog musical et que vous voulez en faire profiter le site, n’hésitez pas à leur faire parvenir l’url, ils sont friands de nouveautés. Il en va de même si vous faîtes de la musique indie, il suffit de leur envoyer vos pistes, photos et bio. 


Aupeo! est une web-radio intelligente qui propose une recherche étendue, par genres et sous-genres mais également par artistes. Son desgin épuré facilite la navigation entre les différentes options d’écoute. Un player musical fixe vous permet d’écouter une station tout en continuant à naviguer sur le site. Le débit est fluide et le son de très bonne qualité. Beaucoup de sites se sont lancés dans la recherche d’artistes similaires (Spotify, Deezer, Last.fm) mais rares sont ceux arrivant aux degrés de similarités escomptés par l’auditeur. Aupeo! met cet aspect en avant, usant d'algorithmes pointus et de recommandations de fins connaisseurs de musique, l’écoute est riche en découvertes et le tout est plutôt convainquant.


22 tracks est un site “jukebox” régit par 22 professionnels de la musique, des DJs curateurs officiant à Amsterdam et Bruxelles, autant de possibilités pour vous de découvrir de nouveaux artistes le plus simplement du monde. Vous sélectionnez un genre et une playlist s’affiche à l’écran, 22 chansons à écouter avec en option la commande shuffle pour encore plus de surprises.



 Chaque artiste qui figure dans une playlist a droit à une biographie empruntée à last.fm ou encore echonest. A chaque playlist son ambiance sonore et visuelle, le site change de couleur tout en douceur en cours de navigation. Après seulement 4 mois d’existence, le site est nominé aux RedBull Elektropedia Awards 2011 dans la catégorie Best Media et quelques DJs travaillant pour 22tracks ont également été sélectionnés.


Voici plus qu’un site musical, presque une oeuvre d’art tant son interface est soigneusement travaillée. Le site met en lumière des artistes de tous bords en jouant sur l’aspect visuel et sur l’interaction en mode plein écran. Chaque écran regorge de détails sur les artistes qui occupent une place privilégiée, une bio, des actus, un lien vers un site marchands, leur date de concerts, autant d’informations utiles pour faire une promo d’enfer aux musiciens. 


The Sixtyone donne la parole aux internaures puisque son slogan “New artists make music & listeners decide what’s good” justifie son mode de fonctionnement : si l’utilisateur aime et veut soutenir l’artiste, il peut cliquer et voter, sinon il lui suffit de changer de piste. Le site se targue de créer une aventure musicale et tient sa promesse à 100%.

Justine P.

mardi 25 octobre 2011

Le Collectif Digitives bouge pour Marius


Marius est un petit garçon de 7 ans. Depuis sa naissance, il est atteint d'une maladie orpheline qui l’empêche de vivre comme les autres enfants. Marius ne parle pas, ne marche pas, et ne tient pas assis tout seul.




L’association “Bouge avec Moi” créée par ses parents a pour but de  lever les fonds nécessaires au financement de méthodes de rééducation offrant une plus grande autonomie à Marius. Ils permettent également d'adapter au mieux son milieu de vie à sa maladie.




Une noble cause pour laquelle le collectif Digitives a mobilisé ses compétences, en collaboration avec la graphiste Laurence Bentz afin de leur proposer un nouveau site web. Un univers haut en couleurs pour illustrer le sourire de ce petit bonhomme plein de joie de vivre !

Nous vous invitons donc à découvrir le nouveau site de l'association Bouge avec Moi, et à soutenir vous aussi Marius et sa famille.

Le blog Digitives finaliste des Golden Blog Awards

Une belle journée pour le collectif Digitives ! Les résultats des votes du public des Golden Blog Awards viennent de tomber, et nous avons la grande joie de faire partie des finalistes.

Nous tenons à remercier tous ceux qui ont voté pour nous, nos contributeurs, tous nos amis qui ont eu la gentillesse de mobiliser leur réseau pour nous faire connaître, et bien sûr nos fidèles lecteurs qui nous suivent depuis le début et ont cru en nous.

Vos voix ont été précieuses et nous permettent désormais d’être jugés par des professionnels du web, puis par les partenaires du concours.

Le grand gagnant par catégorie sera dévoilé le 16 novembre au cours d'une cérémonie organisée à l'Hotel de Ville de Paris. En attendant, il ne reste plus qu’à croiser les doigts et continuer à vous proposer des articles 100% digital native !

lundi 24 octobre 2011

Le froid, mon smartphone et moi

L'automne est là, le froid, le brouillard et la pluie s'installent, et comme nous vous commencez déjà à envisager l'hibernation, ou un voyage longue durée vers des pays aux cieux plus cléments. Avant de vous décider pour l'une de ces solutions drastiques, voyons comment votre smartphone pourrait vous aider à (bien) passer la saison froide.



Les applications automnales pour smartphone :

  • Météo :

Pour savoir si oui ou non vous pouvez vous risquer hors de chez vous en ces froides journées automnales, l'application Thermomètre, disponible pour iphone et smartphones android, va devenir votre meilleure amie ! Grâce à votre position GPS et aux données météo de votre environnement immédiat, Thermomètre vous donne la température extérieure précise de votre position. Et si les données fournies par cette application vous dépriment trop, vous pourrez toujours vous rabattre sur une autre application pour android : Sun Tracker vous permet de localiser à tout moment la liste des villes aux conditions météorologiques plus clémentes !

  • Santé :

Parce que l'automne est la saison des rhumes par excellence, l'application Alerte Fièvre vous permet d'évaluer votre état de santé en fonction de la température mesurée, de vos caractéristiques physiques, de vos antécédents médicaux... En fonction de ces données, l'application pourra vous conseiller d'appeler votre médecin ou de prendre un médicament. L'application propose également des conseils d'ordre pratiques pour le suivi de votre état de santé, en vous permettant de suivre l'évolution de la fièvre, et les heures de prise de médicaments. L'application existe pour android et iphone.

Les accessoires pour braver le froid !

Il ne suffit pas d'avoir un smartphone, encore faut-il pouvoir s'en servir sans avoir les doigts et les oreilles gelés. Suit donc notre sélection des meilleurs accessoires pour utiliser votre téléphone malgré le froid.

  • Le cache-oreille intelligent :

Compatible avec la plupart des smartphones, ipod et lecteurs mp3, le cache-oreille SubZéro est en réalité un casque recouvert fourrure synthétique et doté d'un micro qui vous permet d'écouter de la musique et de répondre au téléphone. Spécialement adapté aux grands froids et aux activités sportives, le SubZéro est disponible en 7 couleurs.



  • Les accessoires pour écrans tactiles :

Plus besoin de se geler les doigts pour se servir de son téléphone en extérieur ; il existe de nombreuses solutions pour surfer sur son smartphone sans quitter ses gants.

Le Digistick, ce petit stylet très précis disponible en cinq couleurs vous permettra de vous servir de votre écran tactile très facilement. Présenté comme le premier stylet pour skieurs, le Digistick vous rendra très certainement de nombreux services. Il sera disponible à la vente le mois prochain, et compatible avec la plupart des téléphones.




On connaissait déjà les gants pour écrans tactiles, mais la nouveauté de cette année s'appelle Glove Tip. Plus besoin d'acheter une paire de gants ne correspondant pas toujours à votre style, Glove Tip s'adapte à toutes vos paires de gants. Cette puce tactile compatible avec les smartphones et autres appareils à écrans tactiles utilise l'électricité statique de votre corps. Après avoir fixé les deux parties de ce dispositif très discret à l'intérieur et à l'extérieur de votre gant, la puce transmet l'électricité statique du doigt vers l'écran. A noter, le prix, tout comme le poids de cet accessoire, est très léger.


Vous voilà maintenant parés pour affronter le froid !

Stéphanie M.

vendredi 21 octobre 2011

Hearsay.it, le kiosque social

Dans le cadre de cette semaine consacrée à la lecture, le collectif Digitives vous propose aujourd'hui d'apporter une touche sociale à votre passe-temps préféré. Maintenant que le cloud n'a plus de secret pour vous et que vos articles y sont soigneusement conservés, découvrez comment partager vos plus belles trouvailles en un clic grâce au site hearsay.it.



Jusqu'ici, tout lecteur de presse en ligne avait pour habitude de bookmarker ou de suivre les rss de ses sites d'informations favoris en proposant à ses contacts de s'abonner à son reader afin de lire les actus à ne pas rater. 
L'autre alternative consistait en la recommandation d'articles par le biais de twitter ou de facebook. 
Face à ces modes de diffusion, John Duncan, co-fondateur de Hearsay, a inventé une nouvelle façon de s'informer en optimisant à la fois la lecture et son partage.



L'intêret de créer une plateforme strictement reservée au partage d'informations, Duncan l'explique en deux points :
  • Sur les réseaux sociaux traditionnels tels Twitter et Facebook, l'internaute se préoccupe plus des attentes de ses contacts que de ce qu'il l'interesse vraiment. La recommandation d'articles est donc biaisée,
  • L''audience n'est pas adaptée à ce type de partage de contenu, notamment sur Facebook. L'internaute n'est pas nécessairement.emballé à l'idée de recevoir ce que vient de lire sa grande-tante avec qui il est "ami".

Hearsay inverse ainsi la tendance en invitant l'internaute à diffuser ce qu'il vient de lire, plaçant au second plan les personnes qui le suivent. Il peut également choisir avec qui il souhaite partager son quotidien de lecteur et recevoir les derniers articles lus par ses contacts.

Le principe

La première étape consiste à déterminer les sources d'informations que vous désirez recevoir. Très intuitive, l'interface vous permet de sélectionner vos journaux préférés en un seul clic.

le tableau de bord des actualités classées par source

Après avoir composé votre kiosque, une mosaïque d'articles apparaît avec les derniers titres publiés par source. Les encarts ne comportent que l'accroche de la news. Si vous souhaitez lire l'article en intégralité, un nouvel onglet s'ouvre en vous redirigeant vers le site initial. Chaque news lue figure ensuite sur votre profil parmi votre historique de lecture visible par les personnes qui vous suivent.
Cependant, si vous ne souhaitez pas partager une info en particulier, une option vous permet de la consulter "anonymement".

Aperçu profil utilisateur
La plateforme s'appuie néanmoins sur les réseaux sociaux traditionnels en offrant la possibilité de se connecter via votre compte facebook et twitter et ainsi retrouver vos contacts réguliers. Si vous préférez vous constituer une nouvelle audience, l'option "Find Communities" vous permettra de vous joindre à des communautés de lecteurs classées par centres d'intérêt.

Lancé en 2010 et disponible gratuitement sur l'app store depuis février dernier, Hearsay offre une nouvelle forme de curation en dépoussiérant au passage le concept de club de lecture.

Mélanie G.

mercredi 19 octobre 2011

Hiboo, la lecture par l'exploration

Après vous avoir présenté le projet Iko, nous nous penchons aujourd'hui sur un autre concept pour la jeunesse innovant proposé par des étudiants de l'école des Gobelins : l'application Hiboo. Basée sur le principe du livre numérique et de l’essor des terminaux mobiles de lecture, ces 5 étudiants ont créé une application mobile associée à une collection d'ouvrages destinés aux adolescents. Leur objectif est d'encourager les jeunes à lire par le biais des nouvelles technologies, en créant des livres interactifs plus ludiques.


En apportant une dimension supplémentaire à la lecture auprès d'un public qui s'en désintéresse progressivement, en leur proposant des activités autour de la lecture, des contenus bonus, un sommaire dynamique ou encore des enrichissements sonores et visuels. La dimension communautaire est également mise en avant : donner son avis sur un livre, partager des contenus avec ses amis, récolter des badges, comparer ses statistiques de lectures... Le choix des romans proposés a lui aussi fait l'objet d'une sélection réfléchie, puisque l'équipe s'est penchée sur les genre préférés des adolescents : voyage, aventure et fantastique. On retrouve ainsi des grands classiques de la littérature de jeunesse tels que Vingt mille lieux sous les mers, Le livre de la jungle ou encore L'étrange cas du Dr Jekill et de M. Hyde.

Découvrez le projet Hiboo en images :



Avec une interface moderne et colorée, des astuces de lecture amusantes et originales et un travail impressionnant d'enrichissement des livres proposés, Hiboo donne envie de se mettre à la lecture version digital native non ?

Stéphanie M.

lundi 17 octobre 2011

3 outils indispensables pour optimiser votre lecture sur le web



Pour éviter d’accumuler les onglets, d'inonder vos favoris de liens futiles, le collectif Digitives vous propose un comparatif de trois sites web qui ont pour vocation de stocker sur le Cloud les articles afin que vous puissiez remettre votre lecture à plus tard. Avis aux adeptes de la veille, de la curation ou aux personnes débordées, découvrez ces outils dont vous ne pourrez plus vous passer.

Read it later list : "One list wherever you"

Fort de ces 3.5 millions d’utilisateurs, Read it later list, crée en 2007 par Nate Weiner, se place en tête du service de stockage d’articles en ligne. Ce site surprend par sa facilité d’utilisation. Après une rapide inscription sur le site, on vous propose d’installer une extension qui viendra se greffer à votre barre de navigation. 

Comment sauvegarder une page grâce à Read it later list ?

Sur la page web concernée, grâce au clic droit, sélectionnez “Read this later”, et retrouvez votre article soit dans le bookmark, soit sur le site web via votre compte ou offline sur votre appareil mobile. L’interface présente un aperçu illustré des pages web sauvegardées pour plus tard, une fonction utile pour retrouver en un coup d’oeil la page à consulter.



Read it later list permet de prolonger l’expérience sur votre appareil mobile avec son application disponible en version free et Pro.

Instapaper : A simple tool to save web pages for reading later

Instapaper séduit d'emblée par son design et sa structure minimaliste. L’essentiel tient en quelques lignes, vous pouvez organiser vos articles par tags, les supprimer, les partager avec vos proches. Le site repose sur un marque-page à installer dans votre barre personnelle. Il suffira de cliquer sur l’extension pour profiter de l’article plus tard. Pour retrouver l’ensemble de vos articles, il faudra vous connecter sur votre compte. Le plus de ce site web réside en la possibilité de personnaliser vos marques-pages. Si vos recherches tournent par exemple autour de Google Music, il suffit de créer le tag “Google Music”, de le glisser dans l’onglet du même nom de votre barre personnelle. Cet outil permet ainsi de consulter des articles offline.

L’application dérivée est disponible sur l’appstore au prix de 3.99€.


Printful : The best way to read the web



Printful ressemble à l’outil le plus abouti, en plus de collecter et sauvegarder les articles que vous n’avez pas le temps de lire, vous avez également la possibilité de transformer un article illisible et de le rendre agréable à la lecture ! Tout comme les deux outils précédents, vos articles sont consultables hors connexion.





Le petit plus de Printful : les formats supportés sont multiples, en plus du texte, il lit les vidéos et les images.

L’application est payante (3.99€).


A vos bookmarks et bonne lecture !

Justine P.

vendredi 14 octobre 2011

[Focus] Connan Mockasin, l'exploration musicale

De sonorités éthérées en paroles oniriques, le jeune musicien néo-zélandais Connan Hosford, leader du groupe Connan Mockasin, nous entraîne dans sa pop psyché et expérimentale.

Connan Mockasin en concert à la Laiterie le 7 octobre


Connan Mockasin est très certainement la révélation de 2011. L'album Forever Dolphin Love, paru en mars dernier, est une exploration dense, délicate et exaltée d'un univers musical poétique peuplé de figures surnaturelles. Porté par une voix haut-perchée, parfois miaulante, jamais criarde, le disque se teinte de sonorités exotiques et électroniques. Une originalité que l'on retrouve dans leurs clips, à l'exemple des très décalés "It's Choade my Dear" ou "Forever Dolphin Love".



Mais le groupe sait aussi se faire acoustique, notamment lors d'un de ses derniers concerts, à Strasbourg. La performance a pris une coloration plus énergique, et les modulations vocales de Connan Hosford des accents plus terriens. Au sein du groupe qui l'accompagne, on retrouve d'ailleurs Samuel Eastgate, leader du groupe Late of the Pier, également connu pour ses fantaisies vestimentaires sur scène.


Retrouvez le groupe Connan Mockasin avec It's Choade my Dear et Melgumi the Milkyway Above dans nos playlists de septembre de d'octobre.

Stéphanie M.

mercredi 12 octobre 2011

Iko, le projet scolaire 100% digital native


La jeune génération de collégiens est, vous le savez, de plus en plus connectée. Smartphones, ordinateurs, comptes facebook, ils souhaitent tout faire comme leurs aînés et la technologie n'a plus aucun secret pour eux. Pour répondre à ce nouveau besoin dans le cadre scolaire, une équipe de 5 étudiants de l'école de l'image des Gobelins a planché l'an dernier sur un projet innovant intitulé iko.



Leurs objectifs : créer un outil capable d'être intégré facilement dans les habitudes des adolescents et apporter de réels fonctionnalités au service de son éducation. iko est un dispositif d'apprentissage complet, comprenant un stylo qui numérise les notes de l'élève et qui les synchronise au sein d'une application installée sur son ordinateur. L'application lui permet ensuite d'accéder à des services complémentaires : classement des cours, agenda intelligent qui aide le collégien à s'organiser dans ses devoirs, service d'entraide, ressources multimédia proposées par les enseignants, informations complémentaires, etc.


La démarche de cette équipe a été centrée sur l'utilisateur, puisque les étudiants ont travaillé tout au long du projet avec une classe de troisième.

Découvrez le projet en images :


Et pour plus d'information sur le projet, consultez la démonstration du dispositif.

Leur projet a été nominé au concours multimédia Europrix édition 2010 dans la catégorie "Content tools". Une initiative digitale qui mérite d'être soulignée, et dont on espère le développement prochain.

Stéphanie M.

lundi 10 octobre 2011

Les Digitives testent Google Music


Sans cacher son attrait pour le leadership, Google multiplie les services en ligne. Le géant du web après avoir misé sur le social avec Google +, se lance dans le Cloud. Après le iCloud d’Apple, ou encore le Cloud Amazon, Google lance une offre de stockage en ligne, pour la musique. En exclusivité, avant sa sortie en France, nous avons testé le logiciel Google Music




Qu’est ce que Google Music ?

Il s’agit d’un site internet qui, pour l’instant, n’est accessible que sur invitation car en phase de test. 
Un site de streaming musical novateur dans la mesure où le service propose d’importer ses propres fichiers musicaux - .mp3, .FLAC, .wma (voir le tableau de fichiers supportés) qui seront stockés sur les serveurs de Google. Le professeur Jonathan Koomey a fait une étude de la consommation électrique et estime à 900’000 le nombre de serveurs utilisés par Google. Une source de profit pour Google qui lancera sans doute une offre de stockage payante d’ici à son lancement officiel. En d’autre terme, il s’agit de “Cloud computing”, une nouvelle ère pour l' informatique.


L’installation

Une fois l’invitation en main, il faut passer par le site et installer un logiciel d’importation nommé “Music Manager”. Un outil indispensable qui permet à l’utilisateur de mettre en ligne sa musique personnelle. En l’état actuel des choses, il nous a fallu 7h pour transférer environ 300 chansons, autant dire une éternité. L’importation des morceaux mobilise énormément de bande passante, bien qu’utilisé en tâche de fond. Pour ce test, nous avons donc abandonné l’idée d’importer notre bibliothèque entière (option que l’on peut sélectionner dès l’installation). Aux passionnés de musique et possesseurs d’une discographie démentielle, armez-vous de patience !


Lors du démarrage, Google Music nous propose de sélectionner les genres musicaux que l’on préfère. En cochant, nous avons la suprise de retrouver gratuitement des morceaux (dans leur intégralité) présent dans notre “Music Player”. Il ne s’agit pas de morceaux libres de droit, mais bien populaires, type Oasis, Ella Fitzgerald, ou encore Travis.


L’importation des fichiers

Trois options sont proposées par Google Music lors de la sélection des dossiers à importer :

- La bibliothèque iTunes ou Windows Media
- Le dossier Musique
- Autres dossiers à choisir manuellement

La surprise arrive lors de la sélection du dit dossier, nous pensions pouvoir choisir les albums à envoyer, mais en réalité, c’est tout le contenu qui commence à transiter. Pas de panique, vous pouvez mettre sur pause ou arrêter le transfert à n'importe quel moment. 

Une fois les albums envoyés dans le cloud Google, oublié Google Manager et retour sur le site web. A l’image de Deezer, Google a pris le parti du all-in-web. L’interface est épurée et les outils sont simples d’utilisation. 


Le site Google Music

Une fois nos fichiers importés via Music Manager, nous basculons sur le “Music Player” qui surprend par son interface claire. Google étant leader dans le domaine du renseignement, les pochettes et les tags sont automatiquement chargés. Un regret néanmoins, une fois les chansons stockées, Google n’offre pas la possibilité de les télécharger. La page web requiert le plugin Flash pour fonctionner convenablement.
Lors de cette phase beta, Google nous offre un stockage de 20’000 chansons, ce qui équivaut à peu près à 100Go. Si l’on compare cette offre à celle du cloud d’Amazon (5Go), elle est nettement plus attractive.
Il nous est également possible de supprimer notre compte (et ainsi toute la musique stockée), ou encore de supprimer une chanson, un artiste, un album. Le lecteur étant intégré en Flash, il nous a fallu un temps d’adaptation pour oublier le clic droit machinal.


Google Music s’utilise grâce à votre nom d’utilisateur sur d’autres appareils possédant le système d’exploitation Android. Pour l’instant, l’usage est limité à 8 appareils, ce qui est plus qu’honnête dans le cadre d’un usage familial.

On retrouve toutes les rubriques d’un lecteur classique, tel le shuffle, la liste par genre, par chanson, par artiste, mais également une option particulièrement intéressante : l’Instant Mix, qui génère une playlist de 25 chansons aléatoirement présentes sur votre Cloud. Utile quand on ne sait pas trop quoi écouter. 

Après avoir utilisé le service pendant 2 semaines, notre verdict :

Les +

Les playlists créees sur Itunes sont importées
L’interface est réussie (bon choix de couleurs)
Les “free songs” (évitez cependant de sélectionner un trop grand nombre de genres)
Les tags sont quasiment tous corrects (comparés à iTunes)
Les pochettes s’uploadent automatiquement
L’instant Mix 
L’espace de stockage de 20’000 chansons

Les -

La lenteur exaspérante des transferts
L’absence d’un outil pour télécharger les morceaux importés
Le nombre de “free songs” est envahissant
Disponible sous Android uniquement

Justine P.

vendredi 7 octobre 2011

Le top 10 Digitives des meilleurs clip de l'année 2011

Aujourd'hui le collectif Digitives vous propose sa sélection très personnelle des 10 meilleurs clips de l'année 2011. Esthétiques, originaux ou psychédéliques, ces vidéos nous ont séduites pour leurs qualités graphiques et leur adéquation avec la chanson qu'ils défendent. Et nous en profitons pour vous rappeler que si vous aimez notre blog, vous pouvez voter pour nous une fois par jour aux Golden Blog Awards !
 
Le clip le plus sombre : Iron - Woodkid



Véritable sensation de 2011, le jeune français Woodkid, également connu pour son travail artistique et ses réalisations sous le nom de Yoann Lemoine, a créé la surprise avec le clip de sa première chanson, Iron. Entièrement en noir et blanc, sobre et esthétisante, cette vidéo mettant en scène le top model anglais Agyness Deyn a été réalisée par l'artiste lui-même. La charge dramatique de cette chanson est parfaitement mise en exergue par ces images dures et froides.

Le clip le plus dramaturgique : Suzanne and I - Anna Calvi


Ce ballet rouge passion est orchestré par un autre français, Romain Chassaing, et chorégraphie par Lionel Hoche. Il illustre parfaitement la passion évoquée dans la chanson de la britannique Anna Calvi.

Le clip le plus paradisiaque : The Bay - Metronomy 


Pour le troisième single d’English Riviera, Metronomy a confié la réalisation de son clip à David Wilson. Le groupe avait déjà fait appel à ce réalisateur pour l’un de ses premiers morceaux “How Say”. Avec “The Bay”, le leader du groupe Joseph Mount a souhaité faire un remake du clip de Will Smith “Welcome to Miami” avec cette-fois ci pour destination de rêve, le sud de l’Angleterre. Un pari fou qu’a su relever avec brio David Wilson faisant de Torquay une des prochaines destinations des plus prisées.

Le clip le plus détonant : Rill Rill - Sleigh Bells 



 Sous ses faux airs de ballade, Rill Rill se transforme en un road-trip sanguinaire avec au volant la magnifique Alexis Krauss. Dirigé par John Watts, le clip reprend les codes propres à Sleigh Bells : la high school attitude à la sauce heavy metal.

Le clip le plus psychédélique : White Nights - Oh land 



L’artiste danoise a fait appel au collectif barcelonais CANADA pour réaliser “White Nights”, un clip qui nous transporte dans un univers onirique aux accents psychédéliques.

Le clip le plus rock : Days are forgotten - Kasabian



C'est un clip sombre et très graphique qui vient illustrer le premier single du nouvel album des anglais de Kasabian. L'animation très sobre met l'accent sur le rythme de la chanson ainsi que sur les instruments du groupe. Ce clip est signé par le collectif français AB/CD/CD.

Le clip le plus urbain : Our Deal - Best Coast  



Le groupe indie rock a choisi l’actrice Drew Barrymore pour illustrer “Our Deal”, single issu de leur premier album “Crazy for You”. Le clip raconte le drame d’un amour impossible entre deux gangs rivaux. La réalisatrice de “Whip it” nous livre une version moderne plutôt réussie de Grease ou encore West Side Story.

Le clip le plus britannique : Claire - Baxter Dury 


Le fils de Ian Dury a frappé fort avec ce magnifique troisième album intitulé Happy Soup et sorti à la fin de l'été. Pour son premier single, Claire, Baxter Dury a choisi le visage de l'artise Madelaine Hart pour incarner l'héroine de sa chanson dans une vidéo à l'humour cynique très anglais et à l'esthétique sixties.

Le clip le plus mélancolique : Wastin Time - The Shoes 



Autre réalisation de Yoann Lemoine, ce clip du groupe The Shoes met en scène un jeune garçon désœuvré qui cherche à tromper son ennui et la douleur de la séparation. Des images éthérées et lumineuses qui viennent servir une jolie allégorie de la mélancolie adolescente.

Le clip le plus américain : Feel so Close - Calvin Harris 


Le nouveau clip de Calvin Harris ressemble à s’y méprendre à “The Suburbs” d’Arcade Fire. Son réalisateur, Vincent Haycock, reprend pour décor la banlieue américaine en brossant un portrait de la jeunesse sous fond d’électro.

Et pour vous, quel est le clip qui a marqué 2011 ?

Stéphanie M. & Mélanie G.

mercredi 5 octobre 2011

Emotional Bag Check : Videz votre sac en musique !

On connaît tous cette sensation de soulagement et d’accomplissement lorsqu’à l’aéroport, on confie sa valise au comptoir d’enregistrement. Un bagage confectionné avec soin, transporté non sans mal, déposé vaillamment sur un tapis et aveuglément légué à quelqu’un d’autre que l’on oubliera le temps d’un vol. Avec Emotional Bag Check, ce sont vos soucis que vous laissez au check-in.

L’idée du bagage émotionnel vient d’un accro du web se définissant comme une personne terre à terre qui a toujours pris les expressions au pied de la lettre. Robyn, le créateur d’Emotional Bag Check s’est ainsi inspiré de cette allégorie en invitant les internautes à “vider leur sac”. Toutefois ceux qui ne souhaiteraient pas se livrer pourront endosser le rôle de bagagiste ayant pour mission de trouver la parfaite chanson capable de vous redonner le sourire.

Le principe ?

Deux options s’offrent à vous en entrant sur le site:



Vous souhaitez vous confier anonymement, vous libérez d’un poids, d’un bagage. Vous pouvez vider votre sac en soumettant un message contenant vos états d’âme.








Si tout va pour le mieux pour vous et que vous voulez faire une bonne action, vous pouvez consulter un message et y répondre en musique.





Une minute, c’est le temps qu’il vous faudra pour confier ou réceptionner le bagage émotionnel.

Un clin d'oeil au "bagage émotionnel" dans How I Met Your Mother (5x23)

Derrière ce concept altruiste se dissimule en fait un véritable site musical dont les chansons sont générées depuis Grooveshark. Si vous manquez d’inspiration, vous pouvez toujours consulter le top 25 des chansons les plus partagées. Le collectif Digitives a testé ce concept novateur et a reçu une réponse musicale dans  l'heure qui a suivi. Outre la thérapie atypique, le site permet de parfaire sa culture musicale et de partager ses coups de cœur avec d'illustres inconnus.

Emotional Bag Check prouve une fois de plus que la musique adoucit les mœurs.  Reste à savoir si vous saurez trouver la chanson salvatrice...

Mélanie G.

lundi 3 octobre 2011

Facebook : Nos astuces pour rester maitre de ses photos avec la nouvelle version


Facebook, le premier réseau social international, profite de son leadership pour faire évoluer ses paramètres en nous laissant que c’est mieux... alors que c’est pire. Pire, dans la mesure où l’utilisateur ne maîtrise plus les empreintes digitales qu'il laisse sur ce site. Après avoir passé des heures dans les méandres de ce dédale, Justine, notre consultante digitale es réseaux sociaux, vous propose ses astuces pour limiter son exposition sur Facebook et rester maître de son compte.

Suite au fameux “f8” du 22 septembre dernier, conférence dans laquelle le fondateur Mark Zuckerberg fit le bilan des évolutions du réseau social, vous avez pu voir apparaître de nombreux changements. Tellement nombreux qu’il est difficile de s'en sortir au premier coup d’oeil, et fâcheux dans la mesure où cela affecte les paramètres de confidentialité, perturbant ainsi l’activité de votre compte, de vos publications et de votre visibilité.

La confidentialité de vos photos

Concernant les paramètres de confidentialité des photos que vous publiez ou des albums que vous créez, sachez qu’il existe au sein de Facebook une différence entre un album crée et les photos et images que vous partagez sur votre mur de manière ponctuelle.

Explications :

1) La création d’un album

Pour créer un album, il suffit d’aller dans l’onglet “Photos” et de cliquer sur “Télécharger des photos”. Un gestionnaire s’ouvre vous permettant de sélectionner les clichés qui fourniront l’album.
Avant la création de l’album, vous avez la possibilité de cibler l’audience. Si vous êtes adeptes des  “listes” (comprendre : regroupement de vos contacts par degré de proximité “amis proches” - “connaissances”), vous pourrez choisir les listes ou les personnes qui autorisées à voir l’album.


Deux options de tri s’offrent à vous :

  •  “Montrer ce contenu à” : vous sélectionnez des personnes ou listes qui verront l’album
  •  “Ne pas montrer ce contenu à” : vous sélectionnez des personnes ou listes qui ne verront pas l’album


Après la création de l’album, vous avez également la possibilité de modifier les paramètres de confidentialité, pour ce faire, à partir de votre profil, cliquez sur “Photos”, à côté du nom de l’album se trouve une icône vous permettant de choisir votre public.

Pour vérifier que le contenu est accessible ou au contraire pour vous rassurez qu’une personne en particulier ne voit pas l’album, nous vous conseillons de passer par l’option “Aperçu du profil en tant que”, outil utile qui est accessible depuis votre profil (et non pas depuis votre tableau de bord). Il suffit alors de renseigner le nom d’une personne pour voir s’il lui est possible ou non d’accéder à votre album.


2) Le partage d’images ou de photo via votre mur

Souvent, il arrive qu’on partage une image trouvée sur le net, ou encore une vieille photo dénichée sur son disque dur. Pour toutes ces images solitaires, Facebook a créé un album unique qui s’appelle “Photos du mur”. Les paramètres de confidentialité de cet album sont différents des albums classiques. En effet, depuis la récente mise à jour du site, pour contrôler la visibilité de ces photos, il vous faut choisir les paramètres de confidentialité de la photo avant sa publication :


Concernant votre album “Photos du mur” : si vous êtes sur Facebook depuis plus de 6 mois, nous vous conseillons de vérifier une à une les images ou photos présentes dans cet album, car les images uploadées avant la mise à jour sont par défaut “visibles par les amis” (donc l’intégralité de vos contacts).

La même particularité s’applique à l’album “Téléchargements mobiles”. Quand vous uploadez une photo prise à partir de votre mobile et souhaitez la publier sur Facebook, sachez que la version actuelle du logiciel mobile ne permet pas de choisir votre cible. Il vous faut passer par le site web pour choisir vos paramètres. Par défaut, “vos amis” (donc tous vos contacts si vous n’avez pas établi de listes) verront l’image.


Nous nous sommes arrêtées sur la remarque située dans la fenêtre “confidentialité personnalisée” qui dit : “toute personne identifiée et ses amis peuvent également voir cette publication.”
Puisque cette phrase est tout sauf explicite, nous avons creusé pour savoir si en excluant (c’est à dire en plaçant cette personne dans l’option ‘ne pas montrer ce contenu à’) une personne taggée (identifiée sur la photo) avait quand même la possibilité d’accéder à l’image. C’est le cas, le tag prévaut sur l’exclusion.



J’ai publié une photo de Britney Spears sur mon mur, je l’ai identifiée pour disons, me souvenir que c’est bien elle sur la photo, puis dans les paramètres de confidentialité, j’ai décidé de ne pas lui montrer cette image, j’ai donc saisi dans le champ “ne pas montrer à” : Britney Spears.
Résultat, l’image apparaît malgré tout dans son fil d’actualité. Tagger une personne nous oblige donc à partager avec cette personne le contenu.

3) Publier une photo sur le mur d’un contact

Vous avez la possibilité de publier sur le mur d’un contact une photo ou une image, pour autant vous n’êtes pas maître de sa visibilité. En clair, lorsque vous publiez une photo sur le mur d’un contact, ce ne sont pas vos paramètres qui entrent en vigueur mais les siens. Tout dépend des paramètres prédéfinis par votre contact, et ces paramètres se trouvent dans Paramètres de confidentialité > Prise de contact > Modifier les paramètres > Qui peut voir les publications d’autres personnes sur mon mur. Les “autres personnes” c’est vous. Vous ne pouvez donc pas choisir qui verra la photo publiée sur le mur du contact.


4) Les éléments partagés

Récemment, sous vos photos, vous avez pu voir fleurir des “éléments partagés”. Il s’agit d’un duplicata de votre image ou photo qui a été publié sur le mur d’une autre personne, d’un groupe ou envoyé en message privé. De la même façon, vous pouvez partager sur votre mur une photo d’un de vos contacts. Aux boutons “j’aime” et “commenter” s’est greffé un bouton “partager”. Il vous permet de diffuser des images qui ne vous appartiennent pas. Dès que l’on publie une de vos photos, la mention “Afficher un élément partagé” vous permet de savoir quand et par qui la photo a été partagée..


Ainsi, en uploadant des photos sur Facebook, on accepte tacitement qu’elles fassent le tour du site avec pour seule mémoire une mention “Par + nom de l’auteur”. Vous n’avez pas la possibilité de supprimer la photo dupliquée, vous pouvez -via un onglet- signaler la photo à Facebook mais c’est tout. Si vous avez bien bidouillé vos paramètres de compte et que votre compte n’est pas accessible à “tout le monde”, seuls vos contacts pourront partager vos photos.

5) L’identification de vos photos

Facebook dispose d’un outil permettant d’avertir les personnes que l’on juge concernées de leur présence sur une photo ou sur une image. Cet outil, au premier abord, est censé nous faciliter la vie, nous évitant la pénible tâche d’envoyer des photos de famille à tous ses membres. Il suffit d’identifier les personnes pour leur faire parvenir les photos. Utile, certes, mais quid de la vie privé ? La vôtre et surtout celle des autres !

Revenons sur cette remarque : “toute personne identifiée et ses amis peuvent également voir cette publication.”

Cette remarque anodine ne cache malheureusement pas qu’un seul vice; puisqu’on nous glisse discrètement que tous les contacts de la personne pourront voir la photo dans laquelle elle est identifiée, plus clairement VOTRE photo sera visible par SES contacts. Aucun paramètre ne permet à ce jour de modifier l’ouverture aux contacts de cette fameuse personne identifiée.
En revanche, Facebook a afin intégré (Amen!) une sorte de modération qui vous permet d’approuver ou non l’usage de votre nom sur une photo.
Pour procéder : Paramètre de confidentialité > Fonctionnement des identifications > Modifier les paramètres > Examen du profil


Il vous suffit d’activer cette fonction et vous serez alors informé qu’une photo vous représentant a été publiée. Attention, il faut lire entre les lignes : vous approuvez la publication de la photo sur votre page, mais gardez à l'esprit que sur le profil du photographe, elle y figure déjà et très certainement, ses contacts et vos contacts en commun vous ont déjà repéré. Si vous n’êtes pas d’accord quant à la publication d’une photo vous représentant (et à laquelle vous êtes identifié), vous pouvez faire la demande (automatique) auprès du détenteur de la photo. En sélectionnant cette option, l’auteur est informé que vous voulez qu’il supprime la photo mais rien ne l’y oblige.

N’oubliez pas que si vous acceptez d’être identifié sur une photo, vous courez le risque d’apparaître sur Google; et ce même si vous avez décoché l’option d’indexation de votre profil au célèbre moteur de recherche. Cette précieuse option est désactivée par défaut.

Votre profil permet également à vos contacts d’identifier des personnes sur vos photos. Utile si l’on ne se souvient plus des personnes photographiées, mais cette option peut aussi mener à des dérives. Si vous n’êtes pas un fervent utilisateur des identifications et pour éviter qu’on le fasse pour vous, il suffit d’aller dans les paramètres de confidentialité > Fonctionnement des identifications > Modifier les paramètres > Vérification des identifications


Cet écran nous apprend que n’importe qui figurant dans vos contacts peut vous tagger sur une photo, Ainsi, par défaut, votre nom peut se balader sur les photos de personnes qui ne figurent même pas dans votre liste de contacts. Sauf si bien sûr vous avez activé l’examen du profil comme expliqué ci-dessus. Si tel est le cas, quand vous avez été identifié sur une photo, vous recevez une notification vous informant que l’on vous a identifié, à vous de juger si vous maintenez ou non cette identification.

Concrètement, voilà ce qui se passe sur votre profil (après activation de ces options) :


Gardez toujours à l’esprit que l’identification est de rigueur tant que vous ne la retirez pas de vous-même.

Justine P.